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في سبيل العروبة الحضارية - Sur le chemin de l'arabité civilisationnelle
11 octobre 2018

La diplomatie algérienne. Un parcours prestigieux, de Rachida El Djouani et Amel Boudjlida (El-Djeich)

Houari Boiumediene Onu

Il est aujourd’hui incontestable que le succès de toute révolution ne doit pas limiter uniquement ses efforts dans l’action armée en ce sens, et concomitamment à cela, l’action doit porter sur d’autres fronts dont celui de la diplomatie. C’est à cet effet que nous avons jugé opportun, à l’occasion de la commémoration par notre pays du 56e anniversaire de son adhésion à l’Organisation des Nations unies, correspondant au 8 octobre 1962, de s’arrêter sur l’importance de l’action diplomatique durant la Révolution libératrice, en mettant en avant les réalisations les plus marquantes de cette action, et ce, depuis le déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954 jusqu’à l’heure actuelle. La diplomatie algérienne Un parcours prestigieux

 

L’IDÉE de lier l'action diplomatique à la lutte armée durant Révolution de libération découle d’une volonté d’approfondir sa définition et de la répandre aux quatre coins du monde. En ce sens, cette vision claire est reflétée dans la proclamation du 1erNovembre 1954 qui définit les objectifs extérieurs en trois points essentiels qui sont : « L’internationalisation du problème algérien,la réalisation de l’unité nord-africaine dans le cadre naturel arabo-musulman, dans le respect de la charte des Nations unies et l’affermissement des liens avec les peuples appuyant notre action libératrice. » Sur la base de ces principes et objectifs,le Congrès de la Soummam a pris plusieurs décisions cruciales,à leur tête, entreprendre les démarches nécessaires à la constitution du Gouvernement provisoire de la République algérienne.Ce dernier sera constitué en septembre 1958 et sera l’interlocuteur officiel et légitime de la cause algérienne à l’extérieur.Il s’agit également d’encadrer le domaine médiatique et d’organiser les structures en charge de la propagande, en rattachant les moyens d’information afin de briser le black out imposé par l’occupant sur la réalité de la Révolution libératrice et de porter la voix de la Révolution à travers les médias à l’opinion publique internationale et dans les forums internationaux.

 

Depuis le déclenchement de la Révolution libératrice, le Front de libération nationale (FLN) avait conscience que l’internationalisation de la cause algérienne étai tune question vitale afin de contrecarrer l’influence de la France sur la scène internationale.A ce titre, pour que la cause algérienne soit inscrite aux travaux de l’Assemblée générale des Nations unies, il était nécessaire de solliciter l’aide des pays arabo-musulman et du mouvement afro-asiatique. De ce fait, le commandement du FLN a désigné une délégation pour se rendre au Caire, chargée de renforcer ses liens avec les organismes et d’autres missions bien particulières dont celle de convaincre la Ligue arabe de la légitimité de la cause algérienne, qui constituait à l’époque la première tribune que les dirigeants de la Révolution avaient utilisé pour cordonner avec des personnalités politiques la façon d’aborder la question algérienne dans cette instance qui constitue l’espace politique le plus proche, sur le plan national et géographique ; en se référant au vécu et à l’expérience de personnalités importantes qui ont eu pour rôle de faire connaître la lutte du peuple algérien depuis les années 1940. A ce titre, le FLN a veillé à gagner le soutien de la Ligue arabe, comme le montre la remise par une délégation algérienne d’un mémorandum au Conseil de la ligue lors de sa 22esession tenue le 17 novembre1954. Ce document contenait un appel pour l’obtention du soutien et de l’appui à la révolution libératrice.Une requête légitime de par la nature de la Révolution et de l’évolution des événements puisque c’était une révolution arabe dans toutes ses dimensions,principes, et objectifs et même dans sa stratégie

 

La Conférence de Bandoeng

Pour les historiens de la Révolution algérienne, la Conférence de Bandoeng, qui s’est tenue du 18 au 24 avril 1955, a constitué une opportunité pour la délégation du FLN et une étape marquante dans le parcours de la Révolution, en ce sens que la cause algérienne fut débattue devant la communauté internationale représentée par 29 pays africains et asiatiques, constituant près d’un milliard de personnes. La délégation algérienne constituée de Hocine Aït Ahmed et M’hamed Yazid, était présente à titre d’observateur aux côtés de représentants de trois autres mouvements de libération. Dans son allocution prononcée lors de l’ouverture de la conférence, le président indonésien, Ahmed Soekarno, avait défendu le droit des peuples colonisés et opprimés à l’autodétermination. Les congressistes ont adopté une recommandation importante de soutien à la Révolution libératrice qui réaffirmait le droit du peuple algérien à l’autodétermination et appelait la France coloniale à accorder l’indépendance immédiate au peuple algérien. La déclaration finale a également réaffirmé son engagement à soutenir les peuples en lutte pour leur indépendance. En application de cette recommandation et malgré les pressions exercées du côté français, les représentants de 14 pays arabes et asiatiques ont présenté, le 29 juillet 1955 au secrétaire général des Nations unies, un mémorandum revendiquant l’inscription de la question algérienne à l’ordre du jour des travaux de la 10e session de l’Assemblée générale, prévue le 1er octobre 1955. Cette requête a été suivie par une autre adressée aux pays membres de l’ONU par la délégation extérieure du FLN afin qu’ils assurent les conditions idéales pour un règlement pacifique de la question conformément au principe du droit des peuples à l’autodétermination.

 

La question algérienne dans l’hémicycle des Nations unies

Dans son ouvrage intitulé «La Révolution algérienne, une victoire qui n’a pas de prix», l’historien Mohamed Abbès rapporte que la surprise fut grande pour la délégation française, présente aux travaux, de voir l’inscription de la question algérienne aux travaux de la 10e session de l’Assemblée générale des Nations unies, après un vote qui s’est soldé par 28 voix pour et 27 contre. En signe de protestation, la délégation française avait quitté la session. Face à la réaction française soutenue par la pression de ses alliés, l’AG a décidé de renoncer au débat sur la question mais tout en adoptant une position intermédiaire, celle de reporter le débat à la prochaine session. Ainsi, lors de la 11e session de l’Assemblée générale de l’ONU, non seulement la question algérienne fut inscrite à l’ordre du jour des travaux et débattue mais une résolution a été adoptée (février 1957) reconnaissant que le problème algérien constituait une question de décolonisation qui devait trouver sa solution logique en permettant au peuple algérien d’exercer son droit à l’autodétermination. Pour la délégation algérienne, l’inscription de la question algérienne a été facilitée par la grève générale historique observée par tout le peuple algérien, du 28 janvier au 4 février 1957, démontrant ainsi sa pleine et entière adhésion à la Révolution. Après de nombreuses discussions sur différentes moutures de projets de textes sur la question algérienne, l’Assemblée générale de l’ONU avait fini par adopter, le 10 décembre 1957, une décision stipulant : «La question algérienne est une question internationale du ressort des Nations unies, que l’Algérie n’était pas française et ne pouvait l’être et que nul ne peut occulter le fait que la France mène une guerre coloniale en Algérie». Par la suite, la question algérienne fut de nouveau débattue, le 9 décembre 1958, lors de la 13e session, à la demande de 24 pays afro-asiatiques et a débouché sur une nouvelle victoire diplomatique suite à la reconnaissance du droit du peuple algérien à l’indépendance.

 

Dans sa 15e session, tenue le 20 décembre 1960, la commission politique de l’Assemblée générale, outre le fait de réaffirmer le bien fondé de la cause algérienne en rejetant les justifications de la France coloniale dans le but de tromper l’opinion publique internationale, a adopté la résolution 1514 consacrant le droit des peuples à l’autodétermination. Face au vaste mouvement de solidarité à l’échelle internationale en faveur du juste combat du peuple algérien et à l’incapacité de l’armée d’occupation d’imposer la solution par les armes, en subissant de lourdes défaites sur le terrain face aux combattants de l’ALN, De Gaulle s’est trouvé contraint de s’asseoir à la table des négociations avec le représentant légitime de la lutte du peuple algérien, le FLN. Les succès sur le plan diplomatique vont se poursuivre, notamment lors de la 16e session de l’AG de l’ONU qui s’est ouverte le 14 décembre 1961, où le débat sur la question algérienne connaîtra un tournant décisif, suite à l’adoption par 63 voix contre 37 abstentions d’une résolution appelant à la reprise des négociations pour la mise à exécution du droit du peuple algérien à l’autodétermination et à l’indépendance de l’Algérie.

 

La diplomatie algérienne sur la scène internationale

Sur la scène internationale, la diplomatie de la Révolution a enregistré de nombreux succès, comme le montre la participation de délégations algériennes à nombre de congrès et manifestations à caractère politique, culturel et même sportif. Des manifestations qui ont été autant de tribunes pour porter la voix de l’Algérie combattante, expliquer ce combat de sorte que l’effort ne soit pas confiné seulement dans l’enceinte de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité des Nations unies. Il en fut ainsi à la Conférence du Caire, en décembre 1957, qui a avalisé les décisions historiques de la conférence de Bandoeng en consacrant la date du 30 mars de chaque année «journée de solidarité et de soutien au peuple algérien combattant». On citera également la Conférence de Tanger (27 avril 1958) qui a reconnu le droit de l’Algérie à l’indépendance et au recouvrement de sa souveraineté, suivie de celle d’Accra au Ghana en décembre 1958, qui a exprimé sa solidarité et son soutien à la Révolution algérienne, coïncidant ainsi avec la constitution du GPRA, la Conférence de Monrovia au Libéria en 1959 et celle de Belgrade en Yougoslavie en avril 1961 où a pris part une délégation du GPRA conduite par le président Benyoucef Ben Khedda.

Festival Panafricain d'Alger

Les acquis résultant de l’adhésion de l’Algérie aux conventions de Genève

L’adhésion de l’Algérie aux conventions de Genève, le 20 juin 1960, a eu un écho positif, non seulement sur le plan humanitaire et social mais également sur la situation juridique des mouvements de libération dans le monde, dans la mesure où cette adhésion a permis d’introduire de nouvelles règles. A plus d’un titre, elle a constitué un précédent dans l’histoire de l’humanité en ce qu’elle a contribué à l’amélioration du statut juridique des mouvements de libération sur le plan international et à la reconnaissance de la légitimité du combat des peuples pour s’affranchir de la domination coloniale, particulièrement en Afrique qui connaîtra, dans la même période, l’accession à l’indépendance de 12 pays africains : Mali, Sénégal, Burkina Faso (ex-HauteVolta), Côte-Ivoire, Bénin (Dahomey), Tchad, Niger, Gabon, Congo Brazzaville, Cameroun et Mauritanie.

Sur le plan humanitaire, l’adhésion de l’Algérie aux accords de Genève a permis l’établissement de relations de confiance avec le Comité international de la Croix-Rouge. Cette relation allait se concrétiser sur le terrain, à travers les visites effectuées par les représentants du CICR dans les bastions de la Révolution ainsi que dans les prisons et camps d’internement et de regroupement, érigés par l’armée coloniale. Des visites suivies de dénonciation des exactions criantes perpétrées par la France, qui se prétendait porteuse de civilisation et défenseur des valeurs humaines sous la devise «Liberté, Egalité et Fraternité». A compter de ces visites, les aides humanitaires ont commencé à affluer au Croissant-Rouge algérien, qui procédait à leur distribution au niveau des centres des réfugiés.

 

Le long processus de négociations

Des pourparlers ont été entamés à Melun, du 23 au 29 juin 1960 mais, selon le témoignage du défunt diplomate Réda Malek, ils étaient voués à l’échec avant même de commencer, du fait que la délégation française avait émis la condition d’une cessation des hostilités pour une durée indéterminée avant de parler des questions relatives à l’indépendance, ce que la délégation algérienne avait catégoriquement refusé. Dans un message adressé au peuple algérien le 5 juillet 1960, le président du GPRA a expliqué la position de son gouvernement concernant les pourparlers de Melun en ces termes : «Lorsque nous avons pris, le 20 juin 1960, la décision d’envoyer une délégation en France, nous n’avions pas manqué de souligner qu’il existait des différends entre nous et le gouvernement français, et à Melun, il s’est avéré que ces différends étaient plus importants que nous ne le pensions…»

 

Après cette rencontre, d’autres allaient suivre, pendant près de deux ans, sans que les deux parties ne parviennent à un résultat concluant, et ce, à cause des manœuvres dilatoires, de conditions et de préalables de De Gaulle qui, en réalité, visaient à porter atteinte à l’intégrité territoriale à travers ses tentatives désespérées de partition du Sahara algérien. Des manœuvres condamnées à l’échec, en raison de l’attachement indéfectible du peuple algérien aux principes et aux objectifs énoncés dans les textes et chartes de la Révolution. Les négociations d’Evian I ont débuté, officiellement, le 20 mai 1961, et ont duré une année, avec maintes suspensions. Si les réunions entre les délégations algérienne et française ont été longues et difficiles, c’est à cause de l’entêtement de la partie française et de sa volonté d’éluder les questions cruciales, en particulier celle de l’arrêt préalable des combats et celle du Sahara, qui est d’ailleurs à l’origine de la suspension des négociations le 13 juin 1961.

Les pourparlers ont repris à Lugrin (20-28 juillet 1961), mais le GPRA a été contraint d’y mettre fin à cause de la tentative persistante du gouvernement français de contester à l’Algérie sa souveraineté sur le Sahara. Cet obstacle sera finalement surmonté suite à la reconnaissance par De Gaulle de la souveraineté de l’Algérie sur son Sahara, le 5 septembre 1961. Les rencontres allaient de nouveau reprendre les 28 et 29 octobre 1961, puis le 9 novembre 1961 à Bâle (Suisse) et enfin, aux Rousses les 9, 23 et 30 décembre 1961.

 

La délégation algérienne avait engagé les négociations en s’appuyant sur des principes immuables et était déterminée, avec force d’arguments, à remporter ce combat diplomatique qui a été tout aussi ardu que la lutte armée menée par nos moudjahiddine dans les maquis. C’est ainsi que la diplomatie algérienne a pu, grâce à l’unification de ses rangs, imposer son point de vue à la partie française lors des négociations d’Evian II qui s’étaient déroulées du 7 au 18 mars 1962 et qui ont pris fin par un accord en vertu duquel il a été convenu d’un cessez-le-feu. Les accords comportaient également des dispositions concernant les modalités du déroulement du référendum d’autodétermination, la préparation de la phase transitoire....

 

Une diplomatie d’actes non de déclarations

Il est entendu que le dialogue est le défi majeur pour la résolution pacifique de tous les conflits et guerres. Dans cette optique, la diplomatie algérienne a adopté, depuis l’indépendance, sa pleine adhésion au principe de maintien de la paix et de la sécurité internationale et ainsi qu’à celui du droit des peuples à l’autodétermination. Cette démarche de la diplomatie algérienne s’inspire des valeurs humanistes édictées par les textes juridiques internationaux et de son attachement à faire prévaloir le dialogue dans la résolution des conflits sur la scène internationale.

Arafat et Bouteflika

La diplomatie algérienne s’appuie sur une série de principes, comme en témoignent ses positions dans la gestion des crises et des guerres et ainsi que dans la consolidation de la paix et le règlement pacifique des conflits dans le monde et sur le continent africain. Des principes qui ont guidé sa démarche dans nombre de ses actions, notamment dans le règlement du conflit dans la Corne de l’Afrique, entre l’Ethiopie et l’Erythrée en 1998. Les efforts déployés par la médiation algérienne ont été couronnés par la signature de l’accord de cessez-le-feu, le 18 juin 2000, et la proclamation de la paix sous le patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le 12 décembre 2000. Un accord que l’ancien secrétaire général de l’ONU a qualifié de «triomphe de la voix de la raison et de la force de la diplomatie».

 

Dans la région du Sahel, l’Algérie a réussi à résoudre pacifiquement les conflits interétatiques en contribuant au règlement du conflit au Mali. Ces efforts ont été couronnés par le tenue, en 1990, d’un sommet regroupant l’Algérie, la Libye, le Mali et le Niger. L’Algérie a mis l’accent sur la nécessité de respecter le principe de non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats et le règlement pacifique des conflits. Cette rencontre a été suivie par la signature de l’Accord de Bamako en 1992 entre les parties belligérantes. Cet accord a été relancé lors de la réunion de Tamanrasset, tenue en 1994. Fin 2006, l’Algérie a mené les deux parties aux négociations supervisées par le président de la République, qui ont abouti à la signature de l’Accord de paix en juillet 2006 ainsi que de trois protocoles exécutifs en 2007. En outre, des séances de médiation ont eu lieu entre 2007 et 2008. Les tensions ont, encore une fois, repris concernant l’accession au pouvoir en 2012. En conséquence, l’Algérie a de nouveau offert ses services de médiation dans l’objectif de parvenir à une solution pacifique à ce conflit. Ses efforts se reposent sur trois importants principes : la non-ingérence dans les affaires intérieures des États, la relance du dialogue direct entre les parties belligérantes (au conflit), le règlement pacifique des différends.

 

L’Algérie n’a pas manqué d’apporter son soutien aux questions de décolonisation en Afrique, en Asie et en Amérique latine, à la fin de l’apartheid, d’exprimer ses positions et sa solidarité avec les peuples subissant les guerres, en appelant à faire prévaloir le dialogue, le respect du principe de non-ingérence dans les affaires internes des États. Pour l’Algérie la question du Sahara occidental et la cause palestinienne sont deux des plus importantes questions qui illustrent la constance de ses positions s’agissant du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, conformément à la légitimité internationale. Pour rappel, selon les Nations unies, le Sahara occidental constitue un cas unique en ce qu’il est le dernier territoire en Afrique encore sous occupation. Elle considère que le problème du Sahara occidental représente une question de décolonisation dont la solution relève de la résolution 1514 qui reconnaît le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et à l’indépendance. Par ailleurs, le Sahara occidental a été admis au sein de l’Union africaine et la République arabe sahraouie démocratique a été reconnue par 34 pays africains.

 

Dans ce contexte, les efforts de la diplomatie algérienne ont été couronnés par l’inscription du dossier du Sahara occidental à l’ordre du jour des travaux du Conseil de sécurité pour débattre du rapport présenté par le secrétaire général, Antonio Guterres, sur le conflit entre le Front du Polisario et le Maroc et la revendication du peuple sahraoui de son droit à l’autodétermination. La politique étrangère algérienne se fonde sur des principes constants : le règlement pacifique des conflits, la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats, le soutien aux justes causes et la lutte antiterroriste.

 

(Source El-Djeich, n° 663, octobre 2018, Traduction de l'arabe : Ladjouzi Sihem)

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