22 septembre 2021
Ma pratique personnelle de l'arabité
Si elle n’est pas animée par la Mémoire la plus longue, ma conscience cesse d’être arabe, elle meurt, elle rejoint les fantômes du monde moderne occidental, de ses simulacres, de ses impostures et de son néant.
Aujourd’hui, je le proclame : être arabe, ce n’est pas seulement parler arabe, c’est être capable d’amener à la conscience la mémoire arabe la plus haute, d'Ougarit à Guelma, d'Ebla à Ain Temouchent, de Mari à Biskra, d'Eshnunna à Laghouat, de Tell Leilan à Constantine...
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