6 mars 2022
L'Un et l'Alif selon Omar Khâyyâm
«Mon coeur me dit: J'ai le désir ardent d'une science inspirée;
Instruis-moi; si tu en es capable.
Je dis l'Alif et mon coeur reprit: N'en dis pas davantage !
Si le Un est dans la maison, c'est assez d'une lettre.»
Les Quatrains d'Omar Khâyyâm, traduits du persan sur le manuscrit de la Bodleian Library, Oxford, introduction et notes de Charles Grolleau, quatrain XXVIII, Paris, éditions Champ Libre, 1980.
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